Nous publions cet article qui ouvre un vaste champ de débats. En particulier, dans le contexte présent où les formes de «gestion de la main-d’œuvre» renvoient aussi à une réalité du prolétariat et du travail, à l’échelle internationale, souvent peu pensée – et pas intégrée dans cet article de Jean Zin – et que Trotsky définissait ainsi, le 18 avril 1939, en élargissant la «notion d’armée de réserve industrielle» à celle de «nouvelle classe des chômeurs»: «Plus grande est l’armée de réserve industrielle…, et plus grand est le paupérisme officiel. Telle est la loi générale absolue de l’accumulation capitaliste» [selon Marx]. Cette thèse, indissolublement liée à la théorie de la paupérisation croissante, et dénoncée pendant des dizaines d’années comme exagérée, tendancieuse et démagogique, est devenue maintenant l’image théorique irréprochable de la réalité. L’armée actuelle des chômeurs ne peut plus être regardée comme une armée de réserve, parce que sa masse principale ne peut plus espérer trouver du travail; au contraire, elle est destinée à se gonfler d’un flot constant de nouveaux chômeurs.»
Ne pas prendre au sérieux cette question et celles posées dans l’article de Jean Zin – au-delà des différences que l’on peut avoir sur des formulations et des approches de l’auteur – revient, sur le fond, à ne pas saisir un des éléments importants, constitutifs du récent mouvement social en France. (cau)
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On ne peut séparer l’écologie du social, comme le voudrait l’écologie libérale, pas plus qu’on ne peut séparer l’homme de son milieu.
Ce sont bien les effets désastreux sur notre qualité de vie de vie et notre santé qui nous alertent sur les problèmes écologiques, cependant les causes sont le plus souvent du côté de la production, des procédés et substances employées, mais aussi du travail lui-même, responsable en grande partie de la dégradation de nos conditions de vie car s’il est avéré que «le travail, c’est la santé» quand c’est un travail valorisant, c’est loin d’être toujours le cas.
Une écologie du travail, attentive à l’amélioration des conditions de travail, devrait constituer une priorité de santé publique dès lors qu’une grande partie des maladies se révèlent être, à l’origine, des maladies du stress potentialisant les pollutions toxiques et les déséquilibres biologiques.
On commence tout juste à s’en apercevoir devant les dégâts d’une gestion par le stress qui a révélé toute son inhumanité, seulement le problème est bien plus général que les «suicides au travail» qui n’en sont que les martyrs les plus visibles.
La société, la citoyenneté démocratique et les droits de l’homme ne s’arrêtent pas à la porte de l’entreprise qui est au contraire un des principaux lieux de socialisation et de vie commune, bien que ce soit de façon plus ou moins temporaire, à la différence des villages d’autrefois. C’est un territoire qu’il faut reconquérir et civiliser en s’opposant aux nouvelles barbaries comme les luttes ouvrières ont combattu les anciennes.
On ne peut accepter l’extraterritorialité du travail qui est une bonne part de notre vie, aussi bien d’un point de vue politique que des répercussions écologiques ou sur notre santé. Il faut s’en persuader, la question du travail devrait constituer avec la relocalisation l’axe principal d’une véritable politique écologiste.
Le cercle est bouclé lorsqu’on se rend compte que le consommateur malade est aussi un travailleur, impliqué dans une production qui le rend malade. Le souci de la qualité de la vie se porte naturellement en premier lieu vers la famille comme lieu de consommation et de partage mais, y compris pour nos proches, étant donné le temps qu’on y passe, changer le travail, c’est changer la vie, de façon bien plus radicale. Se soucier de notre vie au travail, c’est prendre le problème véritablement à sa racine, dans la production qui détermine largement nos consommations.
L’écologie ne peut se réduire à corriger les effets les plus voyants de la dégradation de notre environnement alors qu’elle doit adopter un point de vue global et remonter aux causes. Les problèmes écologiques étant causés par nos productions, c’est donc bien la production qu’il faut changer.
Pas seulement le contrôle de l’innocuité des produits, mais le travail lui-même, c’est-à-dire l’homme (ou la femme), le travailleur dans sa quotidienneté, au-delà des exigences minimum d’hygiène et de sécurité, ce qui certes ne va pas de soi dans une économie fortement concurrentielle, encore moins pour des entreprises capitalistes motivées uniquement par le profit.
C’est bien parce qu’elle remonte aux causes économiques et sociales que l’écologie-politique ne se réduit pas à l’environnementalisme dans lequel on voudrait l’enfermer, ni à la préservation des équilibres naturels, mais doit se soucier de la production et du travail.
Cependant, c’est aussi de façon beaucoup plus immédiate que l’écologie doit se préoccuper des conditions de travail en tant qu’elles conditionnent la santé des populations, y compris leur santé mentale.
On peut d’ailleurs rappeler que c’est le constat que les premiers prolétaires britanniques n’étaient plus en état de servir comme soldats qui a motivé les premières lois sociales sans lesquelles les «lois du marché» n’assureraient pas la simple survie, ni sa propre reproduction. Aujourd’hui on peut dire que la précarité et le stress sont de véritables armes de destruction massive, bien que ce soit de façon moins visible, ce qui devrait en faire une priorité politique.
Enfin, il y a un lien incontestable entre les conditions de travail et la qualité des produits, tout comme l’aliénation au travail renforce l’aliénation du consommateur. Les dimensions économiques et sociales devraient donc bien faire partie intégrante d’une approche écologique globale qui doit comporter une écologie du travail et une écologie du stress, étant donnée leur incidence sur la santé et la dégradation du milieu (sans aller jusqu’à une “écologie mentale” problématique).
Il ne faut pas rêver, si ce n’était qu’un objectif de santé publique, cela ne serait certainement pas assez convaincant pour émouvoir les puissances économiques mais, aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est aussi ce qu’exigent les transformations du travail, les nouvelles forces productives «immatérielles» à l’ère de l’écologie, de l’information et du développement humain où la gestion des ressources humaines et la valorisation des compétences deviennent le cœur de l’entreprise et le moteur de l’économie.
L’automatisation [dans certains secteurs] rend de plus en plus inutile la «force de travail», le travail non qualifié, et de plus en plus indispensable compétence, adaptabilité, communication voire empathie, toutes qualités humaines dont les machines sont dépourvues.
Ce pourquoi le développement humain devient le cœur de l’économie, développement humain qu’il faut entendre au sens d’Amartya Sen, du développement des capacités de chacun (capabilities), de son autonomie et de ses compétences.
C’est désormais l’autonomie du travailleur qui est mobilisée, en effet, dans l’activité productive pour la «résolution de problèmes» comme pour le relationnel, ce qui constitue une véritable inversion des logiques «des sociétés de contrainte aux sociétés de contrôle», du temps de subordination au contrat d’objectif et l’évaluation après-coup.
Cela devrait logiquement entraîner le passage du travail forcé au travail choisi qui ne concerne encore que les plus qualifiés pourtant, alors que c’est à tous qu’il faudrait en donner les moyens. L’universalisation à un rythme absolument inédit des technologies numériques exige une reconfiguration complète de notre système de production et des protections sociales… faute de quoi, c’est la précarité qui s’étend avec des conséquences dramatiques sur la santé et une destruction de ressources humaines on ne peut plus contre-productive. Les répercussions finales sur la santé ne sont comme souvent que des symptômes de l’inadaptation des institutions aux réalités nouvelles et des rapports de production aux nouvelles forces productives.
Il faudrait également revoir complètement les conditions de travail si l’on veut s’adapter aux évolutions démographiques en donnant la possibilité aux salariés de prendre leur retraite le plus tard possible alors que la santé est plus fragile, avec une productivité qui baisse à partir de 53-55 ans le plus souvent.
Il ne s’agit pas de remettre en cause la retraite à 60 ans pour ceux qui le veulent ou n’en peuvent plus, mais de donner vraiment la possibilité de continuer à travailler pour ceux qui le souhaitent et ne veulent pas être mis à la porte, sachant qu’il est d’autant plus recommandé de continuer à travailler qu’il s’agit de travail immatériel entretenant nos capacités cognitives.
S’il faut défendre le droit de choisir, c’est à condition que ce soit un libre choix. Il faut donc défendre bec et ongle le droit à la retraite, sans se croire obligé de réduire la vie à l’inactivité, ni aux sinistres croisières du troisième âge. Il faut là aussi prendre la question par l’autre bout et par le renforcement des protections sociales et de nos libertés au lieu de les réduire au risque d’aggraver les problèmes de santé et de financement. Mais le préalable serait des conditions de travail adaptées, il faudrait un autre travail, un travail désirable…
Les discussions sur le travail sont impossibles et mensongères d’une façon trop générale, car on ne peut mettre sur le même plan toutes les professions. Il y a travail et travail, travail épanouissant et travail humiliant ou harassant. Comme le soulignait J.K. Galbraith (Les mensonges de l’économie, Grasset 2004), à rebours des postulats de l’économie libérale, c’est en plus le travail le plus pénible qui est le moins bien payé alors que c’est le plus gratifiant qui est le mieux rémunéré !
On sait que les inégalités dans le travail se traduisent par des inégalités non seulement dans les salaires mais aussi dans la santé et l’espérance de vie. C’est là qu’on voit clairement que le travail fait la santé, ce qu’on devrait prendre beaucoup plus au sérieux. Il n’y a pas que la pénibilité physique, les accidents du travail, les maladies professionnelles (voir:L’exposition des salariés aux maladies professionnelles en 2007, Dares Analyses, ministère du travail, septembre 2010) les troubles musculo-squelettiques et l’usure des corps. On pourrait citer de nombreuses études, notamment les recherches de Christophe Dejours (Souffrances en France). Mais il y en a bien d’autres, qui établissent les répercussions dramatiques sur la santé mentale de mauvaises relations de travail. Au moins 20% des problèmes de santé au travail seraient liés aux risques psychosociaux [1]. Le besoin de reconnaissance dans son travail comme dans tout groupe humain, se révèle être absolument vital. «Un travail sans perspective de carrière et avec beaucoup de stress est le meilleur moyen d’être malheureux et de mourir prématurément.» (In Minorités, «Le travail ce n’est pas la santé du tout», Gaëlle Guéguen).
Le rôle du stress a été sous-estimé jusqu’ici dans la détérioration de la santé, de même qu’il a été surestimé dans ses côtés positifs. Il ne fait aucun doute qu’on a besoin d’un minimum de stress, au niveau simplement biologique, car la vie est un processus d’adaptation qui s’ossifie, perd ses capacités d’adaptation et son caractère de vivant en l’absence de toute agression ou déficit. On soupçonne ainsi que l’augmentation des maladies auto-immunes peut être liée à un excès d’hygiène (c’est ce qu’on appelle l’hypothèse hygiéniste). Il faut entretenir le système immunitaire comme il faut entretenir le système nerveux qui est son prolongement. Au niveau du vécu, cela se traduit par un insupportable ennui quand il ne se passe rien et qu’on n’a pas besoin de travailler. C’est même une des raisons pour lesquelles il vaut mieux avoir un travail. Les études montrent toutes que plus on travaille vieux, plus on vit vieux. C’est un fait statistique au moins. Encore faut-il pouvoir, que ce ne soit pas un travail trop fatiguant et stressant. Car il est tout aussi certain que trop de stress tue (y compris des chefs d’entreprise, ce qui n’est pas toujours une si bonne position de ce point de vue). Les dernières études montrent que même un stress modéré est plus pathogène qu’un stress faible. Il ne fait pas de doute qu’on ne saurait se passer de compétitions mais la concurrence ne doit pas être exacerbée comme elle l’est sur le marché du travail et dans les grandes entreprises. On connaît les ravages du burn out, surmenage qui mène tout droit à la dépression, mais le stress peut déclencher toutes sortes de maladies physiologiques, inflammations, cancers, infarctus, etc., avec même des répercussions génétiques [2] ! Le coût humain de “techniques de management” barbares est exorbitant, vies gâchées, vies perdues, mais cela se traduit aussi en coûts financiers en termes de santé publique. Faire la paix dans les entreprises et refaire équipe ensemble au lieu d’y faire régner la terreur serait un gain pour l’entreprise comme pour la société. Il y a d’ailleurs quelques rares patrons qui ont compris l’importance du plaisir au travail (voir Les Echos du 1.09.10, «Les méthodes décapantes d’un patron néerlandais») et de relations pacifiées, ce qui n’est certes pas la philosophie des golden boys aux dents longues et de leur stupide idéologie «risquophile» un peu trop cocaïnée. Il y a du boulot !
Une fois admis la nécessité d’une écologie du travail et d’une écologie du stress, quelle est donc la stratégie à adopter ? Sûrement pas la voie adoptée par les 35h où la réduction du temps de travail supposée donner plus de temps pour vivre s’est trop souvent traduite par une intensification du stress et la déstructuration de la vie familiale par l’introduction de la flexibilité. Prendre en compte la santé au travail, c’est inverser le point de vue sur le travail, de l’exploitation esclavagiste à une sorte d’ergothérapie, du travail forcé au travail supposé épanouissant. Au lieu de fuir le travail comme le mal, arriver à en faire un travail désirable, sacré challenge mais qui peut faire l’axe d’une politique.
Je ne veux pas trop insister sur la nécessité d’une alternative au salariat comme temps de subordination en donnant les moyens à tous d’un travail autonome par un revenu garanti et les institutions du développement humain, car, il ne s’agit en aucun cas de s’occuper uniquement de l’alternative alors que les conditions de travail doivent être améliorées partout et au plus vite.
Il n’empêche qu’il faudra bien sortir du salariat productiviste et passer au travail autonome, ce qui pourrait se traduire cependant par un stress supplémentaire insupportable comme on le constate déjà et ce pourquoi ce n’est pas viable sans des protections sociales renforcées contre la précarité (notamment un revenu garanti). C’est seulement en changeant le travail qu’on peut vraiment changer les consommations, c’est seulement quand le travail n’est plus une souffrance qu’il n’a plus besoin d’être compensé par des consommations factices, c’est seulement quand on n’est plus subordonné mais autonome qu’on peut être responsable de ses productions et de leur qualité.
A notre stade de développement, la santé devient le bien le plus précieux (et le plus cher !), raison de plus pour ne pas la gaspiller dans des tensions professionnelles mortifères pas plus qu’en manipulant des produits dangereux. Il vaut toujours mieux jouer la prévention. Les illuminés du transhumanisme imagineraient bien un homme augmenté aux performances décuplées, laissant loin derrière des compétiteurs arriérés.
Notre intérêt serait plutôt de baisser la pression, d’opérer la même conversion que les anciens seigneurs passant du pillage à la gestion de leur domaine, aux “politiques du care” déjà, prenant soin des populations et des richesses locales, prise en compte de ce qu’on appelle des externalités par rapport aux productions immédiates alors qu’elles en sont la condition, tout comme la fertilité des sols qu’il faut entretenir. Loin d’être un luxe qu’on ne pourrait plus se permettre, jamais les protections sociales et le développement humain n’ont été aussi nécessaires et productives. Pour la même raison que le fordisme doit son succès au fait de s’être donné les moyens de sa reproduction, on peut faire le pari que la prise en considération de la santé et de notre simple humanité devrait s’imposer de plus en plus dans le travail, comme dans les affaires. Cela ne se fera pas tout seul, il faudra comme toujours de fortes mobilisations sociales, mais les conquêtes sociales se consolident d’autant mieux que le gain est collectif et que tout le monde en profite finalement…
Si le bonheur des peuples a un sens en politique, c’est de faciliter le travail et la vie de tous. Le simple souci de la santé, d’arrêter la guerre contre la vie, nous a menés à l’écologie du travail, au passage de l’exploitation à l’ergothérapie, au travail comme premier besoin de l’homme, mais on a vu aussi qu’on serait dans l’utopie si l’ère de l’écologie ne se révélait aussi l’ère de l’information et du développement humain exigeant des transformations radicales pour tenir compte du nouveau monde qui s’ouvre à nous.
Ce n’est pas le lieu d’en aborder les modalités pratiques mais on voudrait juste insister sur le point de vue écologique global qui permet de lier le travail à ses produits et les conditions de travail à la santé, bouclant le circuit entre questions écologiques, économiques et sociales.
Il ne s’agit pas cependant de prendre ses désirs pour des réalités en ignorant les contraintes économiques mais bien de se concentrer sur le travail lui-même, l’acte productif et sa relocalisation plutôt que sur les consommations et une illusoire planification des besoins avec ses relents totalitaires (en tout cas de travail asservi). Au lieu d’ajouter des contraintes écologiques aux contraintes économiques, il vaudrait mieux parier sur l’autonomie de l’individu et la valorisation de ses compétences, libérer le travail et se libérer de la subordination salariale tout comme d’une pression excessive, non pas prendre la question du côté des pollutions seulement et du résultat mais des causes, de l’activité, du système et de son productivisme. La liberté dans le travail exige cependant la liberté de ne pas travailler et de se libérer du travail, c’est la difficulté et le point sur lequel il ne faut pas céder pour que ce soit un travail choisi dans lequel on puisse s’investir.
A quand des syndicats écologistes pour changer le travail salarié ? Il faudrait en effet combiner la voie de l’alternative locale à la pacification des entreprises. Même si ce ne sont pas des gains financiers, les gains d’une telle libération du travail coopératif seraient immédiats, et non dans un lointain futur, sur notre quotidien, notre santé, nos relations sociales comme sur nos consommations et nos modes de vie. Ce serait surtout un changement complet de point de vue sur le travail. Bien sûr, le plaisir au travail reste une utopie pour beaucoup mais sa revendication est devenue légitime. De mauvaises conditions de travail sont devenues inacceptables. On ne gagnera rien à continuer à rendre les gens malades. Il ne suffit pas de le dire, il faudrait du moins commencer par le dire pour une véritable écologie et politique de santé qui prenne en compte toute notre vie, travail compris.
* Jean Zin est, entre autres, l’auteur de L’écologie politique à l’ère de l’information. (Editions ère, 2006)
1. Entretien conduit par Sabine Casalonga avec Gérard Lasfargues, directeur adjoint scientifique du réseau national de vigilance et de prévention des pathologies professionnelles (RNV3P) (France), réseau national d’experts en santé au travail:«On observe depuis plusieurs années une augmentation des risques psychosociaux. Un problème de santé au travail sur cinq (20%) concerne ces pathologies (anxiété, dépression…). Les métiers les plus touchés sont ceux du service au public. Des données sur ces risques émergents et leurs facteurs de risque seront détaillées dans le rapport scientifique du réseau dont la publication est attendue pour début 2011. Un problème sur quatre concerne les expositions à l’amiante (plus de 20 000 patients). Les CCPP (Centre de consultation psychiatrique et psychothérapique) sont des lieux privilégiés pour le suivi post-exposition et post-professionnel à l’amiante. Enfin plus de la moitié des cas, enregistrés dans la base, concerne le risque chimique ou les troubles musculo-squelettiques (TMS).» (Réd).
2. http://news.softpedia.com/news/Stress-Is-Taking-Over-Our-Genes-158043.shtml
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