Comment le «plan de Trump» pour Gaza permet une nouvelle appropriation de terres par Israël

Israël largue des tracts avertissant les Palestiniens de rester à l’écart de la «ligne jaune» à Khan Younès, le 20 octobre 2025.

Par Anne Irfan (Jewish Currents)

Le 18 novembre, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution 2803, approuvant officiellement le plan en 20 points du président Trump pour l’avenir de Gaza. Publié initialement comme document de base de l’accord de cessez-le-feu conclu en octobre, ce plan établit plusieurs structures fondamentales: premièrement, une «ligne jaune» qui délimite les zones de Gaza où l’armée israélienne maintiendra une présence sur le terrain; deuxièmement, une Force internationale de stabilisation qui servira de «solution à long terme pour la sécurité intérieure», supervisée par un «Comité de la paix» présidé par Trump lui-même; troisièmement, «un Conseil palestinien technocratique et apolitique» composé d’experts palestiniens et internationaux chargés de gérer la «gouvernance transitoire» de Gaza; et enfin, un «plan de développement économique de Trump pour reconstruire et dynamiser Gaza». [Le Monde du 7 décembre en chapeau écrivait: «Le lieutenant-général Eyal Zamir a déclaré, dimanche, que «la “ligne jaune” constitue une nouvelle frontière, une ligne de défense avancée pour les localités israéliennes et une ligne d’attaque». – Réd.]

Poursuivant les hyperboles de ses déclarations selon lesquelles il aurait mis fin à «3000 ans» de guerre au Moyen-Orient, Trump a salué l’approbation de son plan par le Conseil de sécurité des Nations unies comme «un moment véritablement historique» qui «permettra de renforcer la paix dans le monde entier». Malgré cette rhétorique, la résolution 2803 ne marque toutefois pas une rupture avec le passé. Au contraire, elle s’inscrit dans la continuité de décennies de plans prétendument internationaux – en réalité occidentaux et israéliens – pour la Palestine. Ces plans, illustrés par le mandat de la Société des Nations [adopté le 12 août 1922], le plan de partition de l’ONU [adopté le 29 novembre 1947] et les accords d’Oslo [1993], ont remodelé la géographie politique, la gouvernance et les structures d’aide afin de réduire le territoire palestinien. Ils ont procédé à cette redéfinition en introduisant de nouvelles «frontières» mobiles, telles que la ligne jaune, afin de réduire progressivement la superficie des terres attribuées au peuple palestinien et à son futur État. Ils ont créé des organismes tels que la Force internationale de stabilisation de Trump et son «Conseil palestinien apolitique» afin de contenir le nationalisme et la résistance palestiniens tout en permettant à Israël de continuer à agir en toute impunité. Et ils ont mis en œuvre ces mesures sans consulter le peuple palestinien, mais plutôt en renforçant la dynamique néocoloniale (comme en témoigne la participation de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair en tant que membre clé du Comité de la paix de Trump).

Ligne jaune avec redistribution du territoire.

En fin de compte, ces plans ont permis à Israël de s’emparer progressivement de plus de terres palestiniennes tout en renforçant les obstacles à la souveraineté palestinienne. Les conséquences du plan Trump risquent d’être similaires, allant d’une ghettoïsation totale des Palestiniens dans certaines parties de la bande de Gaza à la liquidation totale de la présence palestinienne à Gaza.

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Les propositions occidentales ont permis aux sionistes de s’emparer des terres palestiniennes pendant près d’un siècle. Avant 1948, la Palestine était gouvernée par un régime britannique qui tirait son mandat de la Société des Nations, un organisme alors dominé par la Grande-Bretagne et la France. Puis, en 1947, l’ONU a présenté son tristement célèbre plan de partition, recommandant que 55% de la Palestine soit attribué à un État juif, à une époque où les Juifs représentaient environ un tiers de la population du pays. Le plan a été rejeté par les Palestiniens, mais accepté par l’Agence juive (la principale instance dirigeante sioniste et organisation paraétatique dans la Palestine mandataire), qui l’a reconnu comme un bon accord et une base pour une éventuelle expansion ultérieure.

Finalement, le plan de partition ne fut jamais mis en œuvre. Seule l’expansion sioniste eut lieu. Les milices sionistes, puis la nouvelle armée nationale israélienne, utilisèrent des moyens militaires pour établir leur nouvel État sur 78% de la Palestine, soit bien plus que les 55% attribués dans le plan de l’ONU. Pour ce faire, elles ont procédé à la Nakba, l’expulsion et le déplacement délibérés d’au moins 750 000 Palestiniens vers les États arabes voisins et les deux parties de la Palestine non revendiquées par Israël en 1948: la Cisjordanie et la bande de Gaza. En conséquence, la Palestine a été de facto partitionnée, mais aucun État palestinien indépendant n’a été créé. Après avoir commencé son occupation durable de la Cisjordanie et de Gaza en 1967, Israël a mis en place une réalité d’un seul État [Michael Barnett, Nathan Brown, Marc Lynch, and Shibley Telhami, «Israel’s One-State Realit»y, Foreign Affairs mai-juin 2023] dans laquelle l’État israélien contrôlait l’ensemble de la Palestine historique et imposait une hiérarchie de régimes différents pour les Palestiniens et les Israéliens.

La bande de Gaza telle que nous la connaissons aujourd’hui est le résultat de cette histoire de contraction. Sous le mandat britannique, le district sud de la Palestine, parfois appelé officieusement «district de Gaza» d’après sa plus grande ville, était la plus grande zone administrative en termes territoriaux. Mais pendant la Nakba, les milices sionistes et l’armée israélienne s’en sont emparées en grande partie, réduisant la région à une superficie de 214 miles carrés [554 km carrés]. L’accord égypto-israélien de 1949 a délimité cette nouvelle «bande» de Gaza en établissant autour d’elle une ligne d’armistice connue sous le nom de Ligne verte. L’année suivante, un gouvernement égyptien affaibli a accepté un addendum qui a réduit la nouvelle bande de Gaza de 20% supplémentaires, la laissant comme un minuscule territoire de 141 miles carrés [365 km carrés], soit moins de 1,5% de la Palestine historique. Israël a commencé à contrôler la Ligne verte comme une frontière internationale, malgré son statut officiel de frontière d’armistice temporaire.

Mais cela ne s’est pas arrêté là. Après avoir commencé son occupation à long terme de Gaza en 1967, Israël a encore réduit le territoire accessible aux Palestiniens, d’abord en établissant des colonies illégales et des installations militaires, puis en imposant des «zones tampons» et des «périmètres de sécurité». Le processus d’Oslo a encore réduit la bande de Gaza, Israël ayant établi un «périmètre de sécurité» s’étendant sur plus de 800 mètres à l’intérieur de Gaza, l’armée appliquant des «mesures de sécurité spéciales» pour empêcher les Palestiniens d’y entrer.

L’empiètement d’Israël sur le territoire palestinien s’est poursuivi au XXIe siècle. Après avoir achevé l’évacuation unilatérale de 8500 colons de Gaza en 2005, Israël a mis en place une «zone tampon» restreinte s’étendant sur près d’un kilomètre et demi à l’intérieur de la bande de Gaza. Tout Palestinien s’y trouvant pouvait être abattu à vue. Et après avoir imposé un blocus total sur Gaza en 2007, avec le soutien de ses alliés égyptiens, Israël a régulièrement étendu sa zone tampon, confinant les Palestiniens sur une bande de terre de plus en plus petite. La logique meurtrière de la «zone tampon» a culminé avec les pertes humaines massives de la Grande Marche du retour de 2018 [voir sur ce site l’article publié le 2 avril 2018], lorsque les forces israéliennes ont tué au moins 234 Palestiniens et blessé plus de 33’000 autres qui s’étaient approchés «trop près» de la barrière entourant la bande de Gaza. Ces décennies d’accaparement des terres pourraient maintenant atteindre leur apogée avec le tout dernier plan pour Gaza, qui continue de mettre en œuvre ce que de nombreux Palestiniens appellent le processus délibéré de la Nakba en continu.

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En considérant le plan Trump dans cette trajectoire historique, nous pouvons identifier quatre volets à la stratégie de dépossession.

• La ligne jaune elle-même en est le premier. Selon les termes du cessez-le-feu, les forces israéliennes étaient tenues de «se retirer jusqu’à la ligne convenue», une directive qui permettait discrètement à l’armée israélienne de conserver le contrôle direct d’au moins 58% de Gaza. En d’autres termes, la construction de cette fortification réduit la partie palestinienne de Gaza à moins de la moitié de la bande de Gaza, soit pas plus de 64 miles carrés [165 km carrés], soit un cinquième de la ville de New York. L’histoire se répète une fois de plus: lors de la Nakba de 1948, plus de 200’000 réfugiés palestiniens ont fui vers le sud-ouest, pour finir confinés dans la bande de Gaza. Lors du génocide de 2023-2025, les forces israéliennes ont mené le même processus au sein même de la bande de Gaza, déplaçant violemment près de deux millions de Palestiniens et les enfermant du côté ouest de la ligne jaune.

La «ligne jaune» et ses blocs qui sont déplacés expulsent les Palestiniens qui disposent d’une maison ou de ce qui en reste dans le territoire nouvellement délimité par l’occupant.

Et cela ne devrait pas être la fin des expulsions alimentées par la ligne jaune. Après que les Palestiniens ont souligné que l’emplacement de la ligne jaune n’était pas clair, Israël a annoncé le 20 octobre qu’il avait commencé à poser des blocs de béton jaunes sur le sol afin de «clarifier la situation sur le plan tactique». Mais loin de lever l’ambiguïté, ces blocs physiques ne font que l’accroître, car Israël n’a cessé de les déplacer plus loin à l’intérieur de Gaza. Des informations ont également fait état à plusieurs reprises d’invasions terrestres menées par les forces israéliennes pour mener des attaques au-delà de la ligne jaune, violant ainsi la condition du cessez-le-feu selon laquelle «Israël n’occupera ni n’annexera Gaza».

Tout comme lorsqu’Israël a violé à plusieurs reprises les termes des accords d’Oslo dans les années 1990, en retardant par exemple son évacuation militaire de la ville de Gaza, puis en envahissant des territoires censés être contrôlés par l’Autorité palestinienne, il n’a subi aucune conséquence pour ses violations continues. En fait, loin d’exiger qu’Israël respecte l’accord, les preuves s’accumulent [New York Times, 25 Nov. 2025] pour montrer que la Maison Blanche collabore discrètement, en coulisses, à des plans secrets visant à l’occupation permanente, voire à l’annexion de Gaza par Israël. La semaine même où le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution 2803, les États-Unis ont présenté des propositions visant à partager définitivement la bande de Gaza, transformant la ligne jaune, qui était une zone tampon militaire temporaire, en une future frontière potentielle. Pendant ce temps, les politiciens et les activistes de droite israéliens continuent de prôner l’expulsion définitive des Palestiniens de Gaza, avec le soutien massif de la population juive israélienne (82% selon un récent sondage).

• La Force internationale de stabilisation constitue le deuxième volet de l’accaparement des terres par Trump, qui renvoie également aux accords d’Oslo. Présentés dans les années 1990 comme une résolution pacifique à des décennies de violence et publiquement présentés comme une «solution à deux États», les accords d’Oslo, tout comme le plan Trump aujourd’hui, étaient principalement axés sur la principale préoccupation des Israéliens: leur propre sécurité nationale. Après la création de l’Autorité palestinienne (AP) en 1994 sous les auspices d’Oslo, près de la moitié de ses employés ont été recrutés pour assurer des fonctions de sécurité. Ils n’étaient pas chargés de protéger la sécurité du peuple palestinien, mais plutôt de réprimer toute activité jugée menaçante pour les intérêts israéliens, y compris la résistance civile non violente à l’occupation. En conséquence, l’AP a rapidement acquis la réputation, parmi les Palestiniens, d’être un pion de l’armée israélienne.

Aujourd’hui, une dynamique similaire est à nouveau à l’œuvre avec la Force internationale de stabilisation. Bien que la composition de cette force ne soit pas encore confirmée, elles comprendraient des troupes de divers pays arabes et musulmans, parmi lesquels l’Azerbaïdjan, l’Égypte, l’Indonésie, le Qatar et les Émirats arabes unis, bien qu’aucun d’entre eux n’ait officiellement confirmé sa participation. Selon la Maison Blanche, la Force internationale de stabilisation aidera à former une nouvelle force de police palestinienne à Gaza et à gérer les affaires de sécurité intérieure, tout en jouant un rôle de premier plan dans la «démilitarisation» de Gaza et la «sécurisation des frontières». Ces deux derniers points sont des exigences israéliennes flexibles pouvant avoir plusieurs interprétations, notamment parce que les «frontières» en question ne sont pas précisées, ce qui ouvre la voie à de nouvelles appropriations de terres. Il s’agit d’un dispositif qui garantit pratiquement que le territoire palestinien continuera se réduire. En effet, plusieurs critiques arabes et musulmans ont exprimé leur inquiétude quant au fait que la participation de leurs gouvernements pourrait les transformer en «marionnettes de l’État israélien».

• Les dispositions relatives à la dite structure gouvernementale palestinienne, qui constituent le troisième volet de la stratégie de dépossession prévue par le plan Trump, rappellent une fois de plus Oslo. Les partisans de l’accord des années 1990 ont présenté l’Autorité palestinienne comme un précurseur de l’indépendance palestinienne. Cependant il y avait un hic de taille: Israël n’a jamais accepté la création d’un État palestinien pleinement souverain, même lorsqu’il était dirigé par des Premiers ministres prétendument «pacifistes» comme Yitzhak Rabin [1992-1995] et Ehud Barak [1999-2001]. Au cours du processus d’Oslo, Israël a accepté de n’accorder à l’Autorité palestinienne qu’une autonomie limitée (et non la souveraineté) sur seulement 18% de la Cisjordanie et les trois quarts de la bande de Gaza. Il a également insisté pour conserver les blocs de colonies illégales qui ont accaparé encore plus de terres palestiniennes. En conséquence, le processus d’Oslo a fortement limité les pouvoirs de l’Autorité palestinienne, ne lui permettant pas d’avoir une armée nationale, un contrôle souverain des frontières et une indépendance économique. De plus, l’autodétermination palestinienne a été reportée jusqu’aux «négociations sur le statut final» qui n’ont jamais eu lieu, tandis que les questions fondamentales de la résistance palestinienne – le droit au retour et le statut de Jérusalem – ont été ignorées.

Dans les années 2020, l’actuel Premier ministre israélien a clairement exprimé à plusieurs reprises son opposition inconditionnelle à un État palestinien, quelle que soit sa taille, alors même que la plupart des gouvernements européens continuent de soutenir publiquement la formule des deux États comme seule voie possible pour aller de l’avant. En conséquence, le plan Trump prévoit encore moins d’autonomie pour les Palestiniens que ce qui leur avait été accordé dans le cadre des accords d’Oslo. Il n’y a pas d’équivalent à l’Autorité palestinienne dans ce plan, seulement un comité de transition supervisé par le Comité de la paix de Trump. De manière révélatrice, le plan parle de l’État palestinien et de l’autodétermination comme d’une «aspiration» – et non d’un droit – et suggère simplement qu’après le développement et les réformes, «les conditions pourraient enfin être réunies pour une voie crédible» vers cet objectif.

• Le quatrième outil d’accaparement des terres, et peut-être le plus flagrant, consiste en des formes néocoloniales de reconstruction. Dans le cadre de ces plans, la «zone verte» contrôlée par Israël (à l’est de Gaza) serait reconstruite avec le soutien d’acteurs soutenus par les États-Unis, dont beaucoup considèrent Gaza comme une simple source de profits (The Conversation, 12 septembre 2025, Rafeef Ziadah, King’s College). Fin novembre, le département d’État américain a confirmé un projet visant à créer des «communautés alternatives sûres» (ASC-alternative safe communities) qui accueilleraient les Palestiniens dans la zone verte. Cependant, la quasi-totalité de la population palestinienne de Gaza étant actuellement confinée à l’ouest de la ligne jaune – la désignée «zone rouge» –, on ne sait pas comment cette population serait transférée vers les ASC, ni ce que cela signifierait pour l’avenir de la zone rouge. La proposition d’ASC présente également des similitudes inquiétantes avec les plans avancés par le gouvernement israélien en juillet visant à créer une «ville humanitaire» pour interner tous les Palestiniens de Gaza, que même certains détracteurs internes ont comparée à un camp de concentration (The Guardian, citant Ehud Olmert, 13 juillet 2025). Alors qu’ils «reconstruisent» Gaza selon leurs propres conditions, les États-Unis et Israël semblent déterminés à poursuivre ces plans, prolongeant ainsi le déplacement et le confinement du peuple palestinien qui dure depuis des décennies.

Les conséquences du plan Trump ont déjà été mortelles. Depuis l’entrée en vigueur officielle du cessez-le-feu à Gaza le 10 octobre, Israël aurait violé ses termes plus de 500 fois. Il a également ignoré ouvertement certaines clauses, telles que l’obligation d’ouvrir le passage de Rafah entre Gaza et l’Égypte. Le Premier ministre Netanyahou a récemment indiqué que son gouvernement pourrait finalement l’ouvrir, mais uniquement pour les Palestiniens quittant Gaza (BBC, 3 décembre 2025). Il s’agit là d’une violation directe de l’accord, qui précise que Rafah doit être ouvert «dans les deux sens» et que les Palestiniens se trouvant en dehors de la bande de Gaza doivent être «libres de revenir».

Plus inquiétant encore, pendant le prétenu «cessez-le-feu» de ces dernières semaines, les forces israéliennes ont continué à ouvrir le feu sur les Palestiniens à Gaza, tuant au moins 360 personnes, dont la majorité étaient des femmes, des enfants et des personnes âgées. Beaucoup ont été tués pour avoir commis le «crime» de franchir la ligne jaune et d’entrer dans le territoire de Gaza contrôlé par Israël alors qu’ils cherchaient à retourner dans les maisons et les quartiers dont les forces israéliennes les avaient chassés au cours de deux années de génocide. Malgré son engagement déclaré en faveur du cessez-le-feu, l’administration Trump n’a pas condamné, et encore moins empêché, ces violations répétées.

Comme les précédents plans «internationaux» pour la Palestine – d’Oslo au «Deal of the Century» de Jared Kushner (The Cairo Review of Global Affairs, «Kushner’s New Plan for Palestine», 18 septembre 2019) –, le plan Trump présente les gains israéliens comme des concessions et les pertes palestiniennes comme des gratifications. L’attention constante accordée par l’Occident aux conceptions israéliennes de la sécurité, combinée à la poursuite éhontée par des acteurs extérieurs de leurs propres intérêts politiques et financiers, détourne systématiquement l’attention des droits humains, sans parler de la justice réparatrice. Alors qu’Israël utilise le prétexte d’un nouvel accord «international» pour s’emparer de nouvelles terres et établir une nouvelle situation sur le terrain, tout cela se fait, une fois de plus, au détriment du peuple palestinien. (Article publié sur le site Jewish Currents le 8 décembre 2025, traduction rédaction A l’Encontre)

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